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Serie A, le bilan
13/11/2007 08:33
Dans un contexte très lourd - mort du supporter de la Lazio, report d'Inter-Lazio et Roma-Cagliari, interruption d'Atalanta-Milan AC-, la 12e journée de Serie A aura sur le terrain été marquée par le faux-pas à domicile de la Fiorentina battue par Udinese (1-2) et les frissons de la Juve tenu en échec à Parme (2-2).
Mort d'un supporter
On attendait du jeu, on a eu de la violence, beaucoup de violence, et une mort absurde, celle d'un supporter de la Lazio. Voilà ce qui aura caractérisé ce dimanche de championnat d'Italie où était programmée la 12e journée de Serie A. La violence avec deux groupes d'Ultras qui s'affrontent sur une aire de service d'autoroute, partisans de la Juve d'un côté et de la Lazio de l'autre, la police qui intervient, deux coups de feu : Gabriele Sandri, 28 ans, tifoso laziale, s'effondre. Quelques mois après les incidents de Catania et la mort d'un policier sicilien, le football italien replonge dans cette sordide actualité de mort et d'affrontements. Si les circonstances du décès du supporter doivent encore être éclaircies, la nouvelle a rapidement fait le tour de l'Italie et provoquée une immense émotion. Le match Inter-Lazio a été reporté et la Ligue italienne a décidé de faire débuter tous les matches avec dix minutes de retard en guise d'hommage à Gabriele Sandri. Cela ne fera pourtant pas disparaître cette tension qui a entouré tous les stades et tous les matches de Serie A. Beaucoup de groupes ultras ont pris la mort du supporter de la Lazio comme un «homicide» des forces de l'ordre et ont ainsi provoqué de nombreux incidents. Ils seront très importants à Bergame, finissant par déboucher sur l'interruption définitive d'Atalanta-Milan AC.
La Fiorentina tombe
Que va-t-il se passer désormais ? Dans les prochaines heures, la fédération italienne, la Ligue et le Ministère de l'Intérieur devraient organiser une réunion d'urgence. Des mesures drastiques pourraient être prises, comme interdire totalement les déplacements de supporters. Il n'est pour le moment pas question de suspendre la compétition. En attendant, Roma-Cagliari, prévu dimanche en soirée, a été également reporté à une date ultérieure. Les autres matches se sont donc disputés dans une atmosphère très pesante. Cela n'a pas empêché quelques surprises. On pense d'abord à la défaite (1-2) de la Fiorentina à domicile face à la pimpante et vive Udinese . Ce revers est le premier de la saison en match officiel pour les Toscans qui ne profiteront pas ainsi du repos forcé de l'Inter pour les doubler au classement. En fait, cette 12e journée n'a pas été des plus confortables pour les clubs de haut de tableau. Si la Fiorentina a été battue à domicile, la Juve a failli connaître le même sort au cours de son déplacement à Parme . Mené 0-2 à l'heure de jeu, les Bianconeri ne sont revenus que dans les quinze dernières minutes. Au courage.On soulignera d'autre part la rébellion des équipes de bas de tableau : Livourne et la Reggina , les deux derniers du classement, se sont imposés respectivement à Sienne (3-2) et face au Genoa (2-0). Du coup, la lutte pour la relégation se resserre notablement avec sept clubs en trois points. C'est d'ailleurs également le cas en tête avec cinq formations en trois points. Une situation qui est, là, il est vrai, dûe en grande partie au report de plusieurs rencontres.
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Commentaire de salie001 (04/12/2020 16:02) :
Merci beaucoup pour ce site et toutes les informations qu’il regorge. Je le
trouve très intéressant et je le conseille à tous !
Bonne continuation à vous. Amicalement
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LIga, le bilan
13/11/2007 08:30
En s'imposant au terme d'un match spectaculaire face à Majorque (4-3), le Real Madrid a distancé Barcelone, décevant et battu à Getafe samedi (2-0). Villarreal, vainqueur de Séville (3-2) dans les dernières secondes du match, prend la 2e place du classement. Valence confirme son redressement en l'emportant devant Murcie (3-0).
Samedi : Festival offensif
Il y a quelques mois, face à cette même équipe de Majorque, le Real Madrid avait décroché son 30e titre de champion d'Espagne. Dimanche en fin d'après-midi, l'enjeu était moindre pour les Merengue , mais la possibilité de faire le trou sur le Barça, était une opportunité formidable en cas de victoire. Et comme souvent, l'antre du Real, pleine à craquer, a vécu une soirée spectaculaire. Très vite, Robinho a ouvert la marque avant que Majorque n'égalise aussitôt. S'en suit alors une folle course poursuite entre Madrilènes et Majorquins. Ces derniers prennent même l'avantage à la 58e (3-2) avant que Raul n'égalise et que l'inévitable van Nistelrooy ne signe le succès (4-3) d'un Real, fébrile en défense mais irrésistible quand il s'agit d'attaquer. L'écart est fait sur le Barça. Il était dit que ce dimanche serait placé sous le signe de l'offensive en Liga. Villarreal qui accueillait le FC Séville voulait la victoire à tout prix pour devenir dauphin du Real. Franco s'y est donc employé en ouvrant la marque (31e) avant que Kanoute (35e) et Fabiano (50e) n'inversent la tendance. Mais les équipiers de Pires ne lâchent pas l'affaire. Franco égalise (67e) et réalise doublé, avant que Fernandez, sur penalty (86e), n'offre le succès à Villarreal, désormais seul deuxième derrière Madrid.
Barcelone décevant, Valence tient bon
Intouchable au Camp Nou, le FC Barcelone est nettement moins à l'aise en voyage. Le déplacement et la défaite (0-2) à Getafe sont venus confirmer tout l'embarras que connaissent les Catalans loin de leur base. Face à une équipe de Getafe, très bien organisée, les Blaugrana n'ont jamais inquiété le gardien argentin de Getafe, Abbondanzieri. Henry s'y est risqué une fois, mais il a perdu son face à face (24e). Trois minutes plus tard, Manu Del Moral, laissé libre par la défense barcelonaise, ne laisse pas l'ombre d'une chance à Victor Valdès. Getafe regagne les vestiaires avec ce court avantage (1-0). Après la pause, Rijkaard lance tous ses attaquants. Mais si les solistes sont là, la partition récitée est de piètre qualité. Le Barça n'y est pas et Albin assure le coup en marquant à la 90e minute. Fort de ce 3e succès consécutif, Getafe quitte la zone de relégation. Pour clôre la soirée de samedi, Valence n'a fait qu'une bouchée de Murcie , à Mestalla. Helguera et un doublé de Villa permettent aux Valencians de rejoindre Villarreal et le Barça au classement, avec 24 points.
Cuper et Munoz s'offrent un sursis
Après la grosse claque au Vicente Calderon par Villarreal (3-4), l' Atletico Madrid a effectué un périlleux déplacement à Almeria , en quête de points. Match fermé où les défenses ont pris le pas sur attaques. L'Atletico ramène un point au terme d'un match nul, 0 à 0. L'Espanyol Barcelone a confirmé son rang, 6e, en s'imposant à domicile devant les Basques de Bilbao (2-1) Ce succès permet aux Catalans de devenir 5es. Deux entraîneurs de Liga ont sans doute sauvé leur place dimanche: Hector Cuper au Betis Séville , vainqueur de Saragosse (2-1) grâce à un doublé de l'Argentin Hugo Pavone dans les dix dernières minutes, et Victor Munoz, technicien de Huelva , qui a battu Osasuna 1-0. Rien ne va plus à la Corogne . Les Galiciens 15es, ont subi un nouveau revers face à Santander (0-1). Enfin Valladolid , mal en point, n'a pas laissé passer l'occasion de marquer trois points en enfonçant un peu plus la lanterne rouge, Levante, en s'imposant 1-0.
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Commentaire de salie001 (04/12/2020 16:02) :
C'est avec plaisir que je regarde votre site ; il est formidable. Vraiment
très agréable à lire vos jolis partages .Continuez ainsi et encore merci.
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Bundesliga ; le bilan
13/11/2007 08:28
Le Bayern enregistre sa première défaite de la saison sur le terrain du champion, Stuttgart (3-1). Les Bavarois dominés de la tête et des épaules restent leaders du classement, avec un point d'avance sur Brême qui a puni Karlsruhe 4-0, pendant que Hambourg a ramené le nul de Schalke (1-1)
Le Bayern corrigé
« Je ne crois pas que le problème porte sur les joueurs alignés. On a tout simplement mal débuté la rencontre et on a été trop passif ». L'analyse est de Karl-Heinz Rummenigge. Le directeur sportif du Bayern, peu en phase avec les choix d'Ottmar Hitzfeld, l'entraîneur, ne cache pas sa déception après la cinglante défaite (3-1) du Bayern , leader, sur le terrain du champion en titre Stuttgart. Déjà au soir du triste match nul (2-2) des Bavarois contre Bolton, en coupe UEFA, jeudi, des voix s'étaient élevées du côté de Munich. Alors forcément, en laissant Klose et Schweinsteiger, sur le banc en début de rencontre, l'entraîneur munichois a encore surpris son monde. Mais pas Stuttgart. Le champion en titre, dont le départ en championnat a été calamiteux, a retrouvé ses repères. Et la défaite, mercredi à Lyon (2-4) en Ligue des Champions a été digérée par une équipe dont la principale ambition, désormais, est de revenir aux affaires en Bundesliga, pour défendre un titre qui n'est pas tout à fait perdu. D'autant moins que le Bayern, rayonnant et impérial en début de compétition, marque nettement le pas.
Leader malgré tout
Cette défaite, samedi, est la première en championnat, depuis le 28 avril. Oliver Kahn, le portier munichois ne s'inquiète pas outre mesure. « Nous sommes toujours leader et je suis toujours persuadé que nous serons champions. En fin de saison, on ne reparlera plus de cette défaite ». Cette contre-performance de Munich est d'abord la faute à Stuttgart qui a réalisé une première mi-temps parfaite. Présents dans les duels, efficaces dans le jeu vers l'avant, Stuttgart s'en est remis à son attaquant Marco Gomez, qui a ouvert la marque dès la 10e. Bastürk a aggravé la marque à la demi-heure de jeu et Gomez, encore lui, a enfoncé le clou juste avant la pause. La messe est dite à la pause, et Toni en marquant son 9e but de la saison en fin de rencontre, a rendu la pilule moins dure à avaler, même si elle reste amère. Fort de ce succès, Stuttgart reprend des couleurs et retrouve des ambitions en s'installant à la huitième place d'un classement que le Bayern mène toujours…
Le Werder déroule
Mais avec seulement un point d'avance désormais sur Brême et Hambourg : 28 points contre 27. Le Werder n'a pas fait de sentiments contre Karlsruhe en s'imposant 4-0 avec une brillante prestation de son meneur brésilien Diego. Dans le même temps, Hambourg est allé chercher le point du match nul à Schalke (1-1). Berlin a battu Hanovre 1-0 et Francfort a tenu Dortmund en échec, 1-1. Tout en bas de tableau, Rostock a remporté le match des équipes de « l'Est ». C'est grâce à un triplé de Kern que le Hansa a renvoyé Cottbus, lanterne rouge à ses chères études.
Lors des deux dernières rencontres de cette 13e journée, la hiérarchie a été respectée. Ainsi Leverkusen s'est imposé sur la pelouse de Wolfsburg (2-1), tandis que Bielefeld a enfoncé Nuremberg un peu plus en l'emportant 3-1.
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Commentaire de salie001 (04/12/2020 16:02) :
Merci pour ces bons moments sur votre blog. Je suis souvent au poste pour
regarder (encore et toujours) ces merveilleux articles que vous partagé.
Vraiment très intéressant. Bonne continuation à vous !
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Ligue 1 ; le bilan
13/11/2007 08:25
Marseille a réussi un véritable exploit en faisant chuter Lyon chez lui (2-1) à l'issue d'une rencontre très spectaculaire. Peut-être la plus belle depuis le début du Championnat. Plus tôt dans la journée, Bordeaux s'est installé sur le podium au détriment de sa victime du jour, Rennes, balayée (3-0). De son côté, Lorient a mis fin à trois mois de disette en dominant Toulouse (1-0).
L'OM fait le spectacle
Définitivement, l' OM reste un club à part. À l'agonie depuis le début du Championnat, les Marseillais se métamorphosent dans les matches de calibre européen. En Ligue des champions bien sûr mais aussi face à Lyon , maître-étalon hexagonal depuis plus de six ans. Pour dominer l'OL (2-1) chez lui, Marseille a su puiser dans sa foi, dans sa culture de la gagne pour inverser un match si mal débuté et l'emporter dans un match qui restera dans les annales de la saison. Du jeu, des occasions, des buts et un suspense à couper le souffle. « Dommage que cela ne se soit pas terminé par un score de 5-4 », regrettait presque Eric Gerets séduit par le contenu autant que par l'issue. Tout avait pourtant idéalement débuté pour Lyon. En effet, pour sa 200e apparition en Ligue 1, Juninho avait converti d'entrée de jeu une combinaison Ben Arfa-Belhadj repoussée par Mandanda (7e, 1-0). Ça sentait la punition. Mais l'OM cette saison, n'est jamais aussi bon que quand il n'est pas attendu. Dès la minute suivante, Niang, à la lutte avec Squillaci, obtint un penalty pas évident mais pas scandaleux non plus. Son plat du pied droit croisé ne laissa aucune chance à Vercoutre, parti de l'autre côté, mais en redonnait une sérieuse à son équipe (10e, 1-1).
Niang, Mandanda, les deux hommes de ce match. Le premier grâce à ses buts, le second par ses arrêts plus miraculeux les uns que les autres. Niang se fendait d'un doublé plein de classe quand, lancé par Nasri, il se joua d'une charnière Squillaci-Anderson bien pataude, pour aller battre Vercoutre encore abandonné de tous, d'une frappe sèche du droit juste avant la pause (42e, 1-2). Entre temps, Fred avait eu l'occasion de massacrer deux occasions énormes de la tête, sous les yeux de Benzema sur le banc… « Karim Benzema n'a pas débuté car il faut gérer l'effectif mais aussi chaque individu » justifiait Alain Perrin. Dès la reprise, le sextuple champion de France mettait la pression avec une frappe de Govou bien tendue. Le début du festival Mandanda. La seconde période, complètement folle oscillait entre les sauvetages du jeune portier phocéen et les balles de break bazardées par Nasri, Valbuena et Niang dans le désordre. Dans une atmosphère de KO, la partie ne tenait qu'à un fil. Ou un bout de latex. Comme celui de Mandanda, héroïque en duel avec Benzema (entré à l'heure de jeu). Héroïque comme toute l'équipe marseillaise. Lyon tombe pour la première fois depuis trois mois en Ligue 1 mais reste plus que jamais favori pour sa propre succession. L'OM l'emporte pour la troisième fois cette saison mais ne devrait pas rester longtemps en danger (17e). Différence de moyens, différence de destins… qui parfois trouvent le moyen de se croiser. C'est ça la Ligue 1 !
+ Lyon-Marseille : le film du match
Bordeaux sur le podium
Entre deux valeurs sûres de Ligue 1, comment espérer autre chose qu'un choc terriblement… Ligue 1 ? Quadrillage parfait, gros combat dans l'entrejeu, peu d'occasions franches, Bordeaux et Rennes n'ont pas vraiment déçu d'une certaine manière. À ce petit jeu, les Girondins se sont montrés meilleurs que les Bretons, bien meilleurs. Et puis, entre deux acteurs de la Coupe de l'UEFA, le succès est allé au plus performant sur le continent (deux succès pour Bordeaux, une défaite et un nul pour Rennes). Au fond, la logique a été respectée et en L1, cela n'a rien d'une anecdote, demandez aux Marseillais. Pourtant, Rennes débarquait au stade Jacques-Chaban-Delmas avec quelques certitudes. Invaincus en déplacement, les Bretons restaient même sur quatre victoires de rang en voyage. De quoi mettre en confiance Pierre Dréossi : « Le résultat dépend plus de nous que d'eux. » Mais Laurent Blanc dispose d'une arme quasi absolue en ce moment. David Bellion a beau être éclipsé par le buzz autour de Karim Benzema, il continue à enfiler les buts comme des perles. L'ancien attaquant de Manchester United s'est offert un doublé sans euphorie. Sur penalty d'abord (pour une main grossière de Hansson sur une remise de… Bellion), son premier de la saison, transformé sans trembler. « Pas question d'avoir peur quand on a une opportunité pareille » affirme-t-il en revenant aux vestiaires. Sur la seconde réalisation, Bellion reprend sans contrôle une offrande de Fernando, comme un nouveau signe d'une confiance en béton armé. Avec un total de 10 buts, l'attaquant girondin est plus que jamais lancé à la poursuite de Benzema (11 buts) au classement des buteurs. En face, Rennes a manqué de quelques arguments. Entre Sylvain Wiltord, out pour plusieurs semaines, Jérôme Leroy, méconnaissable durant la partie, et Jimmy Briand en manque de réussite, l'équipe de Pierre Dréossi n'avait guère que Sylvain Marvaux pour faire la différence. Comme sur ce numéro de soliste à l'heure de jeu où l'international Espoirs passe en revue la défense girondine avant de trop croiser sa frappe du droit, lui le gaucher impénitent. En face, Bellion, dans une situation voisine, trouve la lucidité de piquer un petit centre malin pour la tête d'Obertan. Peut-être la différence entre le podium et ceux qui y restent au pied.
+ Laurent Blanc : «Une belle victoire»
Lorient enfin !
Ouf ! C'est le sentiment qui doit dominer le vestiaire de Lorient après le succès minimal contre Toulouse (1-0). En effet, les Merlus restaient sur une série incroyable de neuf matches sans victoire depuis le succès face à Lyon (2-1). Trois mois de disette ! En face, Toulouse va à peine mieux à vrai dire. Un classement (13e) indigne d'un qualifié pour le troisième tour préliminaire de Ligue des champions, un parcours exécrable en UEFA (deux défaites) et le meilleur joueur de l'équipe, Elmander, out pour une durée indéterminée. Du pain béni pour une équipe en manque de confiance comme Lorient. Plusieurs tentatives de Vahirua en première période, la concrétisation par Abriel en début de seconde, il n'en fallait pas plus pour retrouver le goût du succès. Il était temps.
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Commentaire de salie001 (04/12/2020 16:02) :
Vraiment agréable ce site et en plus il est complet et simple en recherche.
Je t’en remercie beaucoup pour ces moments de détente .
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Bilan de la premier League
13/11/2007 08:21
En clôture de la 13e journée, Arsenal s'est déplacé à Reading avec un seul objectif: la victoire. Il a été atteint aisément tant les Canonniers ont surclassé Reading (3-1). Arsenal est en tête du championnat (avec un match en moins), à la faveur d'une meilleure attaque que celle de Manchester United. Auparavant M.U. a de nouveau dominé son sujet et Ronaldo, auteur d'un doublé, a offert la victoire (2-0) aux Red Devils sur Blackburn. Chelsea s'est de son côté fait rejoindre, sur le fil, par Everton (1-1).
Le coup des Canonniers
Avant de se rendre à Reading , Arsenal avait en tête les deux matches nuls qui ont sanctionné ses deux dernières rencontres de championnat. Sachant qu'une victoire était impérative pour rester au contact de Manchester United, les joueurs d'Arsène Wenger ont pris le match par le bon bout, mais ont dû patienter. Flamini voit sa frappe détournée (44e) mais le ballon entre dans le but. Le verrou de Reading, solide jusqu'alors, vient de sauter. Au retour des vestiaires, Adebayor qui a touché du bois en début de rencontre, touche au but à la 52e, minute d'une magnifique frappe enroulée du droit. Il récidive 2 minutes plus tard mais l'arbitre signale un hors-jeu. Dès lors, il n'y a plus qu'une seule équipe sur la pelouse et Hleb aggrave le score (78e) après un raid solitaire. Reading réduit la marque en fin de rencontre (87e). Pour Arsenal le but est atteint: la victoire.Et reprend ainsi le ledership du championnat à la faveur d'une attaque (27buts) plus prolifique que celle de M.U. (23). Les deux équipes comptent en effet 30 points et Arsenal un match de moins. La suite de la compétition est prometteuse.
Cristiano Ronaldo irrésistible
En net regain de forme ses dernières semaines, Chelsea a dû se plier aux egixences d' Everton , sur la pelouse de Stamford Bridge. Malgré une prestation moyenne, les Blues ont pourtant pris l'avantage par l'inévitable Drogba (70e). A cet instant, ce court avantage leur permet de revenir sur les leaders. C'est sans compter sur Everton et Cahill qui égalise à la dernière minute de jeu. Chelsea reste donc derrière Arsenal et Manchester . Les Red Devils peuvent remercier, une fois encore, Cristiano Ronaldo auteur d'un doublé face aux Blackburn Rovers en deux minutes (34e, 35e). Face aux Rovers de Mark Hugues, apôtre par le passé de Sir Alex ferguson, MU a su déjouer les pièges d'une formation qui n'avait jusque là, jamais perdu à l'extérieur. La star portugaise, irrésistible, permet donc à MU de prendre la tête du championnat. Les dix derniers matches de Manchester ont rapporté vingt-huit points sur trente possibles ! Tottenham s'est reveillé. En passant 4 buts à Wigan , les Spurs retrouvent le sourire en signant leur deuxième succès de la saison. Toujours en bas de tableau, Bolton a concédé le nul à Middlesborough (0-0). Enfin, Portsmouth et Manchester City , candidats aux places européennes se sont neutralisés, 0-0.
Liverpool enfin maître chez lui
Que la victoire fut longue à se dessiner. Mais à force d'essayer, Liverpool est parvenu à faire craquer la défense de Fulham, en toute fin de rencontre. Ce succès 2-0, à domicile en Premiership , était attendu depuis le premier septembre. Et sans doute Benitez et les actionnaires du club, ne regrettent-ils pas à ce jour d'avoir attirer Fernando Torres sur les bords de la Mersey. Alors qu'il relève de blessure le brillant attaquant espagnol, a pris place sur le banc des remplaçants, et voit ses équipiers peiner à concrétiser une domination nette mais brouillonne sur une équipe de Fulham, bien décidée à vendre chèrement sa peau. Et puis… Torres entre en scène à la 70e minute de jeu. La filière espagnole s'est alors mise à fonctionner à plein. Torres est sur la pelouse depuis 10 minutes quand il récupère un long dégagement de son gardien et compatriote Reina. Dos au but, il se débarasse de Hugues et d'un tir astucieux, au ras du poteau, il ouvre la marque (81e). Liverpool est délivré et quatre minutes plus tard Crouch est crocheté dans la surface. Gerrard transforme le penalty et conclut le succès de Liverpool. Les Reds se replacent en quatrième position à trois points d'Arsenal et de Manchester United. Plus tôt dans l'après-midi, dans le derby du Nord, Sunderland et Newcastle se sont neutralisés (1-1) Milner (65e) répondant à un but de Higginbotham (52e). Enfin les Hammers de West-Ham ont enfoncé Derby County un peu plus en bas de tableau. Les « marteaux » londoniens ont frappé fort en passant cinq buts à la lanterne rouge.
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Commentaire de salie001 (04/12/2020 16:02) :
Coucou, votre blog est trop magnifique ! Je viens tous les jours et cela me
plait beaucoup!!! Merci et bonne continuation !
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Commentaire de coeurdorizon (10/02/2021 11:49) :